
Bien-être au travail et sécurité : être exemplaire grâce à la purification de l’air.
Le bien-être au travail constitue un enjeu prioritaire pour les salariés français. Ce constat prévaut déjà depuis plusieurs années dans le monde du travail. Il s’est encore renforcé depuis l’épidémie de Covid-19 et la crise sanitaire. Une étude réalisée par l’IFOP en mai 2020* a ainsi révélé que 81 % des salariés interrogés estiment que le bien-être au travail est un enjeu prioritaire au sein de leur entreprise, alors qu’ils n’étaient que 56 % en 2018.
Si le bien-être au travail revêt une telle importance aux yeux des salariés, il en est de même pour les entreprises. Car au-delà de la notion de bien-être, c’est la santé des salariés et leur sécurité qui sont en jeu. Rappelons qu’en France l’employeur est tenu par la loi de prendre toutes les mesures nécessaires pour garantir la sécurité et protéger la santé physique et mentale de ses salariés (article L4121-1 du Code du travail). L’employeur doit non seulement diminuer les risques mais aussi les écarter par des actions de prévention et la mise en place d’une organisation et de moyens adaptés. À défaut, il encourt de graves sanctions.
Bien-être au travail et sécurité : cela passe par quoi ?
Dans la pratique, l’obligation d’assurer la santé et la sécurité des salariés conduit l’employeur à prendre diverses mesures. Parmi ces mesures figure par exemple le fait de veiller à l’aération des locaux (article R4222-4 du Code du travail). De procéder régulièrement à la mesure du bruit (article R4434-7 du Code du travail). Ou de faire respecter l’interdiction de fumer dans les lieux fermés (Article R3511-1 Code de la santé publique).
Le bien-être au travail s’inscrit, lui, dans un cadre plus large et plus souple. Plus large car le bien-être est à la fois physique et psychologique. Plus souple car la part de subjectivité y est forte. Le bien-être au travail peut se définir comme le sentiment de satisfaction et d’épanouissement que les salariés ressentent au travail. On remarque d’ailleurs que de plus en plus de labels mesurent et certifient ce bien-être en entreprise. Comme l’IBET (Indice du Bien-Etre au travail) ou les labels « Great Place to Work » et Osmoz. Preuves de l’intérêt que revêt ce critère pour attirer des candidats.
La nécessaire prise en compte des risques liés à l’environnement intérieur
En matière de santé, de sécurité et de bien-être physique au travail, la plupart des précautions à prendre par l’employeur relèvent du bon sens. Certains domaines apparentés au confort des salariés ont néanmoins tendance à être sous-estimés alors que leur prise en compte sur les lieux de travail est indispensable :
- la luminosité
- la température
- la tranquillité sonore
- la qualité sanitaire de l’air
- la qualité sanitaire de l’eau
- etc.
Les entreprises responsables prennent chacun de ces éléments très au sérieux, et notamment la question de la qualité de l’air intérieur. Une mauvaise qualité de l’air dans les locaux a en effet de nombreuses conséquences. Tant sur la sécurité et le bien-être au travail des salariés que, par ricochet, sur la bonne santé des entreprises elles-mêmes.

Quels sont les bienfaits d’un air sain sur le lieu de travail ?
Nous avons identifié au moins 5 conséquences positives à l’instauration et au maintien d’un air intérieur pur dans les espaces de travail :- les risques d’allergies, d’asthme, de céphalées et de contaminations bactériennes et virales diminuent
- les risques de somnolence et difficultés de concentration baissent
- la sensation de confort augmente
- les risques d’absence pour maladie sont réduits
- le bien-être au travail ressenti par les collaborateurs se traduit par une performance et un engagement plus forts. En outre, leur capacité de concentration est affectée.