Comment diminuer les arrêts de travail ?
Chaque année, le nombre d’arrêts de travail augmente, témoignant de l’évolution de l’absentéisme au travail. Un problème majeur pour les dirigeants d’entreprise, qui en paient le prix fort. Ainsi, seulement 9 % des arrêts maladie sont d’origine exclusivement professionnelle. Les risques professionnels étant étroitement surveillés, la majorité de ces derniers sont avant tout liés à l’environnement de travail des salariés.
Il serait donc intéressant de trouver la réponse la plus adéquate afin d’assainir l’environnement de travail et ainsi limiter le taux d’absentéisme.
Les principaux motifs d’arrêt de travail
Les arrêts de travail se divisent en deux catégories : les arrêts courts et les arrêts longs de plus de 30 jours).
De la sorte, plus de 70 % des arrêts courts trouvent leur origine dans les maladies saisonnières telles que le rhume, la gastro ou la grippe. Qui plus est, une mauvaise qualité de l’air intérieur peut engendrer de nombreux symptômes et des pathologies (maladies virales, troubles de la concentration, allergies, maux de tête, fatigue, irritation des muqueuses). Quant aux arrêts longs, 22% de ces derniers sont liés à des troubles psychologiques ou à une grande fatigue. C’est seulement en dernier que viennent les accidents du travail tels que les troubles musculo-squelettiques (16 %).
En outre, ce sont les secteurs du BTP, de l’industrie et de la santé qui sont les plus touchés, des secteurs où le temps compte et le manque de personnel peut être très pénalisant. En effet, c’est dans les grandes entreprises (plus de 1000 salariés) que l’absentéisme est le plus fréquent, la concentration de la population étant plus importante et donc plus propice à la transmission de virus, par exemple, ou à une moins bonne qualité de l’air.
Coût pour l’employeur
S’ajoute à ce problème de main d’œuvre, un autre problème de taille : le coût d’un arrêt de travail. Selon la cour de cassation, le coût d’un arrêt de travail se calcule comme suit : salaire / nombre d’heures réelles du mois X le nombre d’heures réelles d’absence. Cependant, il peut également se calculer en jours calendaires afin de correspondre avec les Indemnités Journalières de Sécurité Sociale. Pour information, l’IJSS brute représente 50% du salaire journalier de référence. En complément de cette dernière, l’employeur paie des indemnités. Ainsi, l’article D1226-1 du Code du travail prévoit un maintien de salaire dans les conditions suivantes (à condition d’avoir plus d’un an d’ancienneté) :- Pendant les 30 premiers jours, 90 % de la rémunération brute.
- Pendant les 30 jours suivants, 2/3 de la rémunération brute.
La solution : le purificateur d’air
Ainsi, face à une telle situation, il existe une solution simple. Le nœud du problème est le suivant : dans un bureau, une usine, ou tout autre espace clos, les personnes partagent le même air pollué ce qui favorise la propagation des virus, la fatigue,… En entraîne donc des arrêts de travail à répétition. Opter pour un purificateur d’air vous permet d’assainir l’air de vos locaux afin de préserver la santé de vos employés, de limiter la transmission des maladies et autres troubles de la santé.
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